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RGE, opportunité ou contrainte ?
Les demandes Reconnu garant de l’environnement (RGE) affluent et les délais d’attente s’allongent à près de trois mois. Avec environ 2 000 entreprises labellisées chaque mois et plus de 30 000 au total à ce jour, la dynamique RGE est lancée. Une prise de conscience stimulée par la mise en place de l’éco-conditionnalité des aides publiques, au 1er septembre 2014 pour l’Éco-Prêt à taux zéro (Éco-PTZ) et au 1er janvier 2015 pour le Crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE). Cependant, si la plupart des entreprises du bâtiment jugent le RGE nécessaire, elles le perçoivent avant tout comme une obligation et une contrainte supplémentaire. Le seul avantage étant de ne pas perdre de clients ! Raison pour laquelle la Capeb, la FFB et les organismes de qualification (Qualibat, Qualifelec et Qualit’EnR) ont entrepris un travail de simplification et d’harmonisation des signes RGE, en liaison avec les pouvoirs publics. L’objectif étant, espérons-le, « de faciliter l’accès et la lisibilité des qualifications RGE tant au bénéfice des entreprises, que des consommateurs » (Capeb). Un comité de pilotage vient d’être mis en place le 20 janvier. Une feuille de route et un calendrier de travail devraient être établis. Une présentation sera faite aux pouvoirs publics dès le début du mois de mars. On peut certes parler de progrès en vue, mais de là à ce que ce soit perçu comme un atout, il y a une marge…
Stéphanie Obadia